Les régimes alimentaires ont déjà démontré leurs bénéfices : pendant que certains permettent de perdre du poids, d’autres sont connus pour diminuer le risque de maladies chroniques – le régime alterné d’alimentation saine (AHEI – 2010) – ou pour réduire la pression artérielle, comme c’est le cas du régime DASH. C’est tout ? Eh bien non ! Une récente étude, parue dans le British Medical Journal, prouve que le suivi de bonnes habitudes alimentaires pourrait permettre de lutter contre la susceptibilité génétique à l’obésité.
L’importance du bien-manger
Les participants à cette étude ont été suivi durant 20 ans et, chez les sujets qui adhéraient le plus au régime AHEI – 2010, l’association entre la prédisposition génétique et l’évolution de l’IMC s’est vue significativement atténuée. Donc, sur le long terme, le suivi de meilleures habitudes alimentaires lutterait contre cette prédisposition. Preuve supplémentaire de la nécessité d’inciter les sujets à susceptibilité génétique à l’obésité d’adopter une alimentation saine !
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